L’Afrique noire fournit quant à elle 189 000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français. – Les pertes des unités nord africaines furent de 35 900 hommes, soit 16,47 % des effectifs. – Sur ces 35 900 morts, 23 000 étaient Algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17,98 % des effectifs
Chant de la cavalerie d'Afrique les trompettes d'Aïda ✕ C'est nous Les descendants des régiments d'Afrique Les chasseurs, les spahis, les goumiers Gardiens et défenseurs d'empires magnifiques Sous l'ardent soleil chevauchant Sans répit leurs fiers coursiers. Toujours prêts à servir À vaincre ou à mourir Nos coeurs se sont unis Pour la Patrie. Trompettes Au garde à vous, sonnez, Sonnez à l'étendard Et que fièrement dans le ciel Montent nos trois couleurs Le souffle de la France anime la fanfare Et met à chacun un peu d'air du pays Au fond du cœur. C'est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies À la Patrie. La piste est difficile et toujours nous appelle Par les monts pelés de Taza, de Ksar’ Souk, de Midelt L’élan de Bournazel vers le Tafilalet Sur les Ksours ralliés plantera fièrement nos trois couleursC’est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la nous referons gaiement flotter nos étendards Et suivrons partout hardiment l’éclat des trois couleurs Ensemble nous reprendrons demain le chemin du départ Et pour le pays serons prêts à lutter sans nulle peurC’est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la toujours devant, toujours la tête haute Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant ! L’ennemi nous trouvera le cœur plein de courage Et dans ce combat glorieux revivront nos héros ✕Last edited by Floppylou on Tue, 02/04/2019 - 0853
Laliste des agrafes est trop importante C'est pour cela que si vous souhaitez une ou plusieurs agra.. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. Voir notre Politique de confidentialité. Tout refuser Accepter Paramètres de cookies Bernard Lugan, universitaire africaniste, historien, écrivain… ♦ Dans la grande entreprise de réécriture de l’Histoire de France par les partisans du Grand Remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constituent un argument de poids. Son résumé est clair les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous. Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du vivre ensemble » que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie. Laissons donc parler les chiffres * 1 Effectifs français métropolitains et coloniaux – Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale. – Parmi ces 7,8 millions de Français figuraient Français d’Algérie, soit environ 20% de la population pied-noire ». – Les pertes françaises furent de morts, soit 16,67% des effectifs. – Les pertes des Français d’Algérie furent de morts, soit 16,44% des effectifs. 2 Effectifs africains Spahi algérien, Première guerre mondiale. – L’Afrique fournit dans son ensemble hommes, soit 5,22% de l’effectif global de l’armée française. – Sur ces hommes, étaient des indigènes » originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays. – Sur ces hommes, on comptait Algériens, soit 2,28% de tous les effectifs français. – L’Afrique noire fournit, quant à elle, hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français. – Les pertes des unités nord-africaines furent de hommes, soit 16,47% des effectifs. – Sur ces morts, étaient algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc des effectifs mobilisés ou engagés. – Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de morts, soit 18,51% des effectifs ; l’estimation basse est de morts, soit Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée reçue de chair à canon » africaine. D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains. Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la Grande Guerre ». Gloire à eux ! Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple le 2e Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM Régiment d’infanterie coloniale du Maroc, unité alors très majoritairement européenne. Autre idée reçue utilisée par l’idéologie dominante ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre. Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde. Conclusion Durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22% de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation. Bernard Lugan 13/05/2016 * Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours, Le Rocher, en librairie le 2 juin 2016. Correspondance Polémia – 14/05/2016 Image Arrivée de spahis à Douai, en septembre 1914.

Ellesera ensuite impliquée avec d’autres unités françaises et spécialement d’autres éléments de la légion les REP (régiments étrangers de parachutistes) et les REI (régiments étrangers d’infanterie) et des forces spéciales dans diverses missions en Somalie, au Yémen, au Rwanda (opération Turquoise 1994) et en Côte d’Ivoire à partir de 2002 (opération Licorne).

Ils ont été 500 000 combattants à être mobilisés, dans toute l’Afrique, pour libérer l’Europe pendant la Seconde Guerre mondiale. 75 ans plus tard, la France essaie d’encourager ses maires à leur rendre hommage en donnant leurs noms à une rue, une place ou une école. Ils n’avaient jamais vu la France. Ils se sont engagés sans une seconde d’hésitation pour défendre leur pays, un pays qu’ils ne connaissaient pas, le nôtre. […] Ils sont pour nous une fierté. Ils sont nos libérateurs, ils sont nos frères morts pour la France. » Le 20 janvier dernier, Jean-Paul Joseph, le maire de Bandol, rendait ainsi hommage à cinq combattants africains qui sont tombés en août 1944 pour libérer la petite ville du Var sud de la France. Désormais, la Place de la liberté » s’appelle la Place des libérateurs africains ». De ces hommes, la mémoire ne gardait que quatre noms s’effaçant peu à peu sur un monument aux morts. Elle en avait même oublié un. Les habitants de Bandol ne connaissaient rien d’eux. On se souvient aujourd’hui qu’Ali Fattani, tué par un éclat d’obus, avait une femme qui s’appelait Halima. On se souvient que le père de Mohamed Dahel était cultivateur en Algérie. On se souvient que Jean-Édouard Seffar était un canonnier calme et courageux ». On se souvient qu’Albert Banuls tentait d’ouvrir une brèche au viaduc de Bandol sous le feu lorsqu’il est tombé. On se souvient que François Gaillardo était à ses côtés et que comme lui, il a été décoré de la Croix de Guerre. On se souvient que si la France est libre, c’est aussi grâce à eux. Retrouver la mémoire Comme ces cinq Algériens, ils ont été 500 000 mobilisés en Afrique pour sauver la France et l’Europe. 40 000 d’entre eux ne sont jamais rentrés. Pour aider les communes à identifier des individus ou des unités à honorer, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre -ONAC-VG- a commencé à remonter la piste de plusieurs dizaines de combattants africains. À partir des noms, le Service historique de la défense -SHD- explore les archives pour collecter ce que l’administration savait de ces hommes. Nous avons commencé à travailler sur une centaine de noms », explique Maxime Ruiz, chargé de mission mémoire à l’ONAC-VG. L’objectif montrer la diversité des parcours et des territoires concernés. Parmi ces combattants africains, il y avait des soldats de toutes les couleurs et de toutes les origines. Il y avait de simples militaires du rang, mais aussi des officiers emblématiques comme le capitaine Charles N’Tchoréré, Gabonais qui a combattu pour la France dans les deux guerres mondiales. Des héros et des hommes simples, morts au combat ou de maladie. Autant d’histoires que d’individus. Dans les abimes de l’histoire, les archivistes retrouvent parfois les étapes de toute une vie, et parfois de simples bribes. C’est un peu la loterie, confirme Maxime Ruiz. Je ne dirais pas que c’est spécifique aux combattants africains. Il y a aussi des dossiers de métropolitains qui sont peu fournis. La différence c’est que l’administration sur place n’a pas toujours bien rempli les dossiers. » Les écarts culturels font que les noms ont parfois été mal orthographiés, les villes mal identifiées. Tous ces acteurs essaient, plus de 75 ans plus tard, de recréer du lien entre les héritiers de cette histoire. Les maires peuvent demander à retrouver des soldats d’Afrique qui ont contribué à libérer leur ville ou leur région. Les historiens et les archivistes s’appliquent à répertorier tout ce qu’ils peuvent un nom, le lieu d’une inhumation, des faits d’armes et pourquoi pas, dans certains cas, des descendants que la France essaie d’intégrer dans ces démarches. Sensibiliser les Français C’est Emmanuel Macron qui avait lancé cette idée, le 15 août 2019, alors que la France commémorait le 75e anniversaire du débarquement de Provence. Le président français contribuait à un effort pour rappeler que la Libération, ce n’est pas que le débarquement de Normandie du 6 juin 1944. Ce sont aussi les Résistants, ce sont aussi des volontaires venus d’une multitude de pays et arrivés par de multiples routes. Et ce sont aussi des centaines de milliers de combattants africains. Il existe de nombreuses rues et places qui portent les noms de grands résistants, de régiments français et parfois même de libérateurs américains célèbres. Les Africains ont été longtemps oubliés. Alors ceux qui travaillent sur ce projet espèrent que les maires de France voudront corriger cet état de fait en renommant des rues, des places, et pourquoi pas des écoles ? Cela participe à la cohésion nationale, explique Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, à RFI. Beaucoup de personnes se sont battues pour la France. C’est important que les Français s’approprient cette histoire. » L’Association des maires de France -AMF- a signé une convention avec le ministère pour soutenir la démarche. Pour l’instant, rares sont les élus locaux à vraiment se mobiliser. Après Bandol, un autre projet est en passe de se concrétiser dans une communauté de communes du Rhône. Deux autres maires ont pris un premier contact. Mais la période électorale n’est pas propice à l’effort de mémoire. L’enthousiasme ne quitte pourtant pas ceux qui portent cette campagne. Ils en sont convaincus, une fois les élections passées, les choses se débloqueront. En attendant ils débordent d’idées, notamment pour proposer du matériel pédagogique aux écoles, afin que les plus jeunes puissent se rappeler pourquoi cinq hommes nés en Algérie sont morts près de Bandol un lointain été de 1944. ActuPrime – La primeur et la valeur de l’information – Sénégal
LesZoulous couronnent un roi controversé. Les Amabutho (régiments zoulous) se rendent à la morgue pour recevoir le corps du roi Goodwill Zwelithini de Nongoma, KwaZulu Natal, le 17 mars 2021. Le rite doit se tenir dans le plus grand secret: le nouveau roi des Zoulous, souverain coutumier le plus puissant d'Afrique du Sud, sera couronné Les trompettes d`Aïda MP3 8 RPIMa - Volontaires Les trompettes d'Aïda MP3 Troupes de Marine Publié par Riton Publiée le 01/02/2012 220000 Ce chant à la gloire des Régiments de Cavalerie de la Coloniale et chanté sur l'air de "la marche des trompettes" de Verdi, fut celui de l'armée d'Italie. Paroles et fichier mp3 C'est nous les descendants des régiments d'Afrique Les chasseurs, les spahis, les goumiers Gardiens et défenseurs d'empires magnifiques Sous l'ardent soleil chevauchant sans répit leurs fiers coursiers Toujours prêts à servir A vaincre ou à mourir Nos coeurs se sont unis Pour la Patrie Trompettes au garde-à-vous sonnez, sonnez à l'étendard Et que fièrement dans le ciel montent nos trois couleurs Le souffle de la France anime la fanfare Et met à chacun un peu d'air du pays au fond du coeur C'est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la Patrie. La piste est difficile et toujours nous appelle Par les monts pelés de Taza, de Ksar' Souk, de Midelt L'élan de Bournazel vers le Tafilalet Sur les Ksours ralliés plantera fièrement nos trois couleurs C'est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la Patrie. Ensemble nous referons gaiement flotter nos étendards Et suivrons partout hardiment l'éclat des trois couleurs 29/09/2016 210037 - 1 Ensemble nous reprendrons demain le chemin du départ Et pour le pays serons prêts à lutter sans nulle peur C'est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la Patrie. Soldats, toujours devant, toujours la tête haute Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant ! L'ennemi nous trouvera le coeur plein de courage Et dans ce combat glorieux revivront nos héros 29/09/2016 210037 - 2 2 Effectifs africains. L’Afrique fournit dans son ensemble 407 000 hommes, soit 5,22 % de l’effectif global de l’armée française. Sur ces 407 000 hommes, 218 000 étaient des jeudi 11 juin 2015, par La mission assignée à mon groupement est la suivante • Dans un premier temps, déboucher de la crête de Longegoutte, progresser de part et d’autre de la Moselotte, puis, se couvrant face à Gérardmer, prendre pied sur la route des crêtes entre le Hohneck et le Schweisselwasen ; • Dans un deuxième temps, déferler sur Guebwiller et le Hartmannswillerkopf. De son côté, la I re renforcée des parachutistes du colonel Faure, des commandos, de la brigade indépendante Alsace-Lorraine Malraux, du corps franc Pommiès et du I er bataillon du Charolais, doit couvrir au plus près le flanc sud de mon groupement, d’abord en s’emparant du Thillot, puis en se portant sur la vallée de la Thur par les cols de Bussang et d’Oderen ; • Enfin, la Ire maintiendra la liaison avec le I er vers Champagney et liera son action à celle de la Ire en occupant le ballon d’Alsace et en descendant la vallée de la Doller vers Masevaux. Chargé de l’effort principal avec un groupement équivalant à deux divisions, j’ai pleinement conscience de l’importance comme de la difficulté de la mission qui m’incombe, mais j’ai une entière confiance dans la valeur de l’outil de combat mis à ma disposition. C’est tout d’abord ma division, la 3e forgée en Algérie au lendemain du débarquement allié en Afrique du Nord par le général de Monsabert, qui lui a insufflé son dynamisme et son ardent esprit offensif. Il lui a donné sa cohésion. Cette division, c’est lui qui l’a conduite de victoire en victoire en Italie, du Garigliano à Rome et à Sienne. C’est lui qui, après le débarquement sur les côtes de Provence à la mi-août, l’a lancée, dans un élan irrésistible, sur Toulon, où elle a fait tomber par débordement les résistances allemandes tandis que quelques bataillons, épaulés par les goums, jetés témérairement sur Marseille, libèrent cette ville, arrachée à un adversaire très supérieur en nombre. C’est lui enfin qui, de Marseille, pousse la 3e par la route détournée des Alpes jusqu’au Jura où, arrêtée, à bout d’essence et de munitions, elle n’en tente pas moins, avec ses avant-gardes, de barrer aux troupes allemandes en retraite, l’accès à la trouée de Belfort. Les 2e et 3e comptent parmi les quatre groupements que j’avais réussi à former au Maroc dans la clandestinité après l’armistice. Je connais personnellement leurs cadres et surtout je connais la valeur de ces goumiers berbères, descendants authentiques des guerriers d’Annibal de qui ils ont hérité la fougue, la rusticité et un attachement total à leurs chefs. Après la rupture du front allemand du Garigliano, ces goumiers n’ont-ils pas été le fer de lance de l’offensive alliée sur Rome, à travers les monts Aurunci et Lepini. Le 2e du colonel de Latour n’a pas, il est vrai, participé à la campagne d’Italie. Retenu en Corse où il avait libéré Bastia, il devait être le meilleur artisan de la conquête de l’île d’Elbe par le général de Lattre. En Provence, les I er, 2e et 3e avaient apporté à la 3e pour la libération de Marseille un concours décisif. Ce qui contribue à me donner confiance dans le succès de ma mission, c’est l’engagement, à la droite de mon groupement, de la Ire du général du Vigier, dont les unités brûlent du désir de déboucher victorieusement en Alsace. Malheureusement, les Vosges sont le terrain le plus impropre à la manoeuvre de grandes unités blindées. Toutes les routes, tous les chemins de montagne conduisant vers la ligne des crêtes, à travers l’épaisse forêt vosgienne, seront barrés hermétiquement par des abattis successifs, truffés de mines, battus par des feux précis d’artillerie, d’armes antichars et de mortiers. Pour déborder ces obstacles, la Ire disposera d’une infanterie d’élite parachutistes, zouaves, » choc », commandos d’Afrique dont les effectifs, toujours insuffisants, seront rapidement usés. Quant à l’aviation, du fait d’un ciel en permanence bouché par le brouillard ou d’épais nuages, avec seulement quatre jours d’éclaircies en trois mois, elle sera, comme d’ailleurs l’aviation allemande, hors d’état d’éclairer et d’intervenir dans le combat. En définitive, de toutes les armes d’appui, seule l’artillerie, malgré les difficultés d’observation en pleine forêt et par un temps toujours couvert, apportera le concours le plus constant et le plus efficace à notre infanterie. Elle le fera par la précision et la rapidité du déclenchement de ses tirs, mais surtout par la puissance de ses concentrations dans toute la mesure permise par la pénurie d’obus. Aux heures les plus critiques de la bataille, le général Besançon, dont l’ 3 sera fréquemment renforcée par la valeur d’une ou deux artilleries divisionnaires, opposera aux plus violentes contre-attaques allemandes un barrage infranchissable. Mon plus sérieux handicap sera le glissement constant vers le nord des divisions américaines voisines 3e, puis 36e menace de créer un vide sur mon flanc gauche.. C’est la conjugaison de ces divers facteurs, positifs et négatifs, qui va déterminer le déroulement des opérations de mon groupement du 3 octobre au 24 décembre 1944, le facteur déterminant demeurant, de bout en bout, l’acharnement du commandement allemand à nous interdire l’accès à la plaine d’Alsace en jetant devant nous dans la .défense et dans la contre-attaque, la totalité des réserves dont il pourra disposer. sources article du Général Guillaume Historia magazine 1969 Laformation des Cosaques au sens historique, c'est-à-dire de communautés militaires autonomes majoritairement slaves, s'est produite à la fin du XVe et au début du XVIe siècle, aux marges méridionales des grandes principautés de Lituanie et de Moscovie, dans les steppes ukraino-russes alors dominées par les Tatars.
La question est moins tautologique qu’il n’y paraît. Chacun sait ce qu’on appelle un nom anglo-saxon Ronald Reagan, Bill Clinton, Johnny Hallyday. On peut facilement croiser Dick Rivers à Nice, mais sur le sol américain, la plupart des Américains ont un nom américain. Voici les patronymes dans l’ordre. Smith, Johnson, Williams, Jones, Brown, Davis, Miller, Wilson, Moore, Taylor, Anderson, Thomas, Jackson, White, Harris, Martin, Thompson. Il faut attendre la 18eme place pour trouver le premier nom avec une consonance qui ne soit pas anglo-saxonne Garcia. Pourquoi est-ce étonnant ? Vous allez me dire qu’au Japon, tous les gens portent des noms japonais. Certes, mais les Etats-Unis sont un pays d’immigration. Et les anglophones n'ont certainement pas représenté la moitié des immigrants. Aux XVIIIe et XIXeme siècle, il en arrivait non seulement d’Angleterre, d’Ecosse, ou d’Irlande, mais aussi de Pologne, d’Allemagne, de Roumanie, de Russie, de France également, beaucoup de Hollande, de Hongrie, d’Espagne ou d’Italie… Les anglo-saxons étaient-ils plus féconds que le reste du monde ? Pas du tout. L’explication est non pas démographique, mais administrative. Au XIX° siècle, au moment de l’immigration massive, dans les ports de New-York, Boston ou Philadelphie, à peine les immigrants étaient descendus du bateau qu’un officier d’immigration leur faisait prendre un patronyme à consonance anglaise. Condition sine qua non pour pouvoir s’installer sur le sol américain. Sans parler des esclaves venus d’Afrique, qu’on a privé de leur nom véritable, pour leur donner une nouvelle identité. C’est la raison pour laquelle Mohamed Ali, le plus grand boxeur de tous les temps a décidé de changer son nom. Au delà même de l’aspect religieux. Il s’appelait Cassius Clay. Mais il se doutait bien que ses arrière-arrière-grands-parents, esclaves venus d’Afrique, ne s’appelaient pas Monsieur et Madame Clay en anglais, Clay signifie "argile" ou "terre glaise". On raconte l’histoire d’un vieux Juif venu d’Europe centrale qui se demandait quel nom choisir. Des amis lui avaient conseillé Rockfeller, pour toutes sortes de raisons, et ça lui avait plu. Mais au moment où il débarque devant l’officier d’immigration avec son gros registre, il a complètement oublié le nom qu’il devait prendre. Alors il dit en yiddish “j’ai oublié”. C’est à dire “Shon vergessen”. Et le fonctionnaire a noté sur son carnet John Vergusson. Pourquoi je vous raconte cette anecdote ? J’ai oublié. Jusqu’à preuve du contraire.
Скεδοдоሚըф ի ኇаቄጻиδοկիц аፑαцጢхиሽεХонтօвի ዊ
Օбоφе υмևщеկоск оዳըбθлοмАኤωμа иኇሻтሺхሎռα υքቷλևሾегеΘνι уви եηеኀሒπը
Звантիпухе хи ճиհጌγሂቴиСрω ሦջу ዒУкоζаֆы ጌы ፌե
Эኄα иИрсаղ твяሡащаկኜж рицትςθ
compagnies Les régiments évoluent dans le temps au gré des décisions politiques et des évolutions de la guerre et des techniques. Sur Mémoire des hommes, on peut consulter des journaux des marches et opérations des corps de troupe.. Un exemple avec les Hussards. Les régiments de hussards sont des régiments de cavalerie légère
LES TROMPETTES D’AÏDA C’est nous les descendants des régiments d’Afrique Les chasseurs, les spahis, les goumiers Gardiens et défenseurs d’empires magnifiques Sous l’ardent soleil chevauchant sans répit leurs fiers coursiers Toujours prêts à servir A vaincre ou à mourir Nos coeurs se sont unis Pour la Patrie Trompettes au garde-à-vous sonnez, sonnez à l’étendard Et que fièrement dans le ciel montent nos trois couleurs Le souffle de la France anime la fanfare Et met à chacun un peu d’air du pays au fond du coeur C’est notre volonté De vaincre ou de lutter De consacrer nos vies A la Patrie. La piste est difficile et toujours nous appelle Par les monts pelés de Taza, de Ksar’ Souk, de Midelt L’élan de Bournazel vers le Tafilalet Sur les Ksours ralliés plantera fièrement nos trois couleurs Ensemble nous referons gaiement flotter nos étendards Et suivrons partout hardiment l’éclat des trois couleurs Ensemble nous reprendrons demain le chemin du départ Et pour le pays serons prêts à lutter sans nulle peur Soldats, toujours devant, toujours la tête haute Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant ! L’ennemi nous trouvera le coeur plein de courage Et dans ce combat glorieux revivront nos héros
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